Planète interdite

(Forbidden Planet)

 Les critiques

Nombre de critiques : 36

Total des points : 322

Moyenne obtenue : 8.94/10

n°16 - 10/10 Sans nom

23 janvier 2002

Je suis tres heureux de voir tends de personne voter pour ce film, qui ne vaut et de loin le gachis de Star Wars nouvelle generation. Planete Interdite entre dans la categorie des films culte mais dans le top 10 des meilleurs films. Que j'appelerais "Perle du genre". Magnifique fresque, grandiose, pertinant, audacieux, ambitieux... Un Leslie Nielsen dans un role serieux (etrange), Un walter Pigeon inquietant, Une Anne Francis ravissante, un scenario propre et fin... Bref!! Une innevitable peinture vivante.

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n°15 - 10/10 Sy Phy

19 décembre 2001

Tenté de mettre 20/20 mais si la perfection existait, ce serait triste... L'étalon zirconium du film de SF classique. Une fausse "série B" car réalisé avec un budget conséquent mais une véritable réussite "tout public" parce que tous les ingrédients sont saupoudrés au millimètre : fantastique, merveilleux, poésie, terreur, érotisme (Ann Francis porte très joliment la mini-jupe et le grain de beauté, merci !) et un humour souvent poilant grace au génial Robbie, improbable croisement de Bibendum avec un mixeur ! A savourer en v.o. pour en goûter la très substantifique moelle. Décors sidérants des studios Disney (vertigineuse scène où les héros visitent le coeur des installations Krells - Georges Lucas, cinéphile et gros pompeur devant l'Eternel s'en est visiblement inspiré dans la séquence du combat et de la chute de Luke-la-main-froide face à Darth Vador). Précurseur des années 60 : la mini-jupe, bien sûr (on me dira que Maureen O'Sullivan en portait déjà une vingt ans avant dans la série des Tarzan) mais aussi l'utilisation de cet instrument musical dément : le Theremin (réécoutez "Good Vibrations" des Beach Boys ou, bcp + récemment, Portishead...) Personnellement, j'ai du le voir une vingtaine de fois et j'en reste comme deux ronds de flan.

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n°14 - 9/10 noumayos

27 octobre 2001

la premiere fois que j'ai vu planete interdite, je devais avoir 12 ou treize ans , (peut etre dans la derniere sceance, je crois meme que j'en suis sur...) et , deux choses : j'ai eu tres tres peur de ce monstre invisible que rien ne peu arreter... impossible de comprendre quoi que ce soit au avancees technologiques...
J'ai vu 3 fois le film, beaucoup plus tard, et je dois dire qu'il est effectivement un peu kitch, mais en realite, voila un vrai film de sf, le scenario, l'idee en tout cas est tres interressante, l'imagination du cineaste est unvrais regal... un classique qu'on ne peut decidemment absolument pas rater, j'aime pourtant pas trop les vieux films, mais celui là est incomparable... il est vraiment indispensable à tout fan de le voir...

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n°13 - 8/10 PIERRE

05 janvier 2001

Ma note tient plus de la nostalgie que de la critique comme telle. J'étais très jeune lorsque ce film est passé à la télé. Mais je m'apercois qu'en France l'on passe beaucoup de films de répertoire (cela me manque beaucoup), résident au Québec, nous sommes engloutit par la marée noire américaine (de films récents et pas toujours très bons). Bon revenons à planète interdite, ce film m'avait beaucoup impressionné, le robot surtout mais aussi la bête invisible, dont les pas s'enfoncaient dans le sable. J'aimerais bien le revoir mais...

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n°12 - 8/10 Sans nom

09 décembre 2000

Pas grand chose à ajouter aux précédentes critiques, sinon le nom des compositeurs de l'incroyable musique du film : Louis et son épouse Bebe Barron, tous deux programmateurs et pionniers des musiques électro-acoustiques. Il semblerait qu'ils ont été les premiers à créer un studio de musique électro-acoustique en Amérique, et il est quasiment sûr que PLANÈTE INTERDITE est le premier film de l'histoire du cinéma où la musique soit exclusivement électro-acoustique. Même le lion de la MGM rugit au milieu du sifflement intergalactique...

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n°11 - 10/10 Dominique

22 octobre 2000

J'ai vu ce film pour la première fois vers l'âge de 3 ans. JE n'ai pas compris énormément de choses mais déjà le titre du film resta gravé dans ma mémoire. Quelques 15 années plus tard, je redécouvre ce film, toujours sur FR3, vers 23h30 et je reste captivé par l'histoire. Le lendemain en classe j'en parle à un ami et comme moi, il fût fasciné. Et il y a 2 ou 3 ans, Le cinéma de miniut sur France 3 nous propose ce film à nouveau. Vite, je fais chauffer mon magnétoscope et j'enregistre à tout va. Et depuis, j'ai du voir ce film au moins 15 ou 20 fois et jamais, non, jamais je ne m'en lasse. Une histoire superbe, de très bons scénarios, etc... Ce film à très bien vieilli, même si les effets spéciaux pourraient faire sourire aujourd'hui. MAis ce que j'adore dans "Planéte Interdite", c'est cette fabuleuse histoire des Krells, détruits par leurs propre subsconcients. Incroyables. C'est vraiment très profond et je suis content de voir sur ce site que des gens de ma génération (j'ai 28ans) peuvent apprécier ce genre de film culte.
Voilà un film qui ne propose pas une explosion atomique toutes les 5 minutes et dont la réflexion va beaucoup plus loin que beaucoup de nos films actuels réunis. Je vais aller m'empresser d'acheter la version DVD maintenant que je posséde un lecteur.

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n°10 - 9/10 bogart6

03 septembre 2000

fred wilcox qui réalisa les 2 premier lassie (wouf wouf) avec liz taylor à néamoins terminer sa carrière en beauté.... avec planète interdite. Ce film renferme l'une des plus brillantes et séduisantes idées du cinéma de sf: une civilisation avancée d'un million d'années sur les humains est détruite par son subconscient collectif!! Moi ce qui j'ai apprécié par dessus tout c'est la beauté des vastes espaces intersidéraux. Tres en avance sur son époque fortement conseillé!!

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n°9 - 8/10 Le Rescator

27 juillet 2000

Planète Interdite fut à ma formation en cinéma SF ce que le premier baiser est à la vie amoureuse : une bonne entrée en matière. Certes pas totalement enthousiasmante, mais néanmoins très déterminante pour former un goût, une vision, une manière de décrypter ce type de cinéma fantastique. Le film présente tous les atouts des oeuvres de SF modernes : des personnages sobrement plantés (le jeune capitaine taillé comme un Tarzan, la belle pépée blonde, le papa scientifique à barbichette inquiétante…), des situations effrayantes (le monstre invisible qui tue les soldats, la planète quasi déserte qui fait peur…) et des détails de contextualisation obligés (le robot, les fusils laser, la soucoupe volante, le nom à dormir debout de Morbius). Sans oublier des effets spéciaux très chiadés pour 1956 (sa date de sortie). Pour le reste, c’est à l’avenant de l’époque, c’est à dire quand même dépassé : la soucoupe volante est bien ronde et fait un bruit sourd téléphoné quand elle approche d’une planète; les combinaisons sont bien argentées façon Paco Rabane première époque ; le grand robot émet des bip-bip et a des antennes qui tournent, etc, etc. L’histoire est en revanche bien moins débile que ce que l’on pourrait penser de prime abord : elle développe une dimension psychologique (le monstre crée par l’esprit) très en avance pour l’époque. Le tout sans aucun martien vert ni rouge, librement inspiré des angoisses anti-cocos de l’oncle Sam.
On se marre aujourd’hui, direz-vous. Mais en 1956, ils y croyaient fort les bougres ! C’est dur, ainsi, d’imaginer que dans 20 ou 30 ans, quand les ados boutonneux se materont des films sur XTRON-Rom (le nouveau standard vidéo), ils apprécieront des œuvres comme Matrix, La Menace Fantôme ou Alien sous l’angle du nanard archi ringard… Hé oui ! Ainsi va la vie.
Aussi, même lorsque j’ai vu Planète Interdite pour la première fois (en-dessous de dix ans), ce film a provoqué en moi un demi-plaisir : c’est mon papa qui m’avait dit tout excité, le programme télé en main -« Ouah ! Tu vas voir ce soir à 20h30 sur la 3, c’est génial ce truc ! »- vu que c’était de son époque et que ça lui parlait. Mais déjà dans la mienne d’époque (les 80’s), on avait pour comparer le très kitsch Flash Gordon, le mythique Star Wars, le facile Galactica et autres géniaux Blade Runner. Autant dire que Planète Interdite partait perdant d’entrée de jeu. On pouvait le ranger automatiquement dans la même case que les films d’horreur anglais de la Hammer, en technicolor et cinémascope. Le genre de films qu’un Eddy Mitchell prenait plaisir à présenter le mardi soir, à sa messe cinéphile de la Dernière séance. Le genre de film qu’on se repasse malgré tout avec joie, décennie après décennie, comme une vieille chanson : pour se souvenir, un rien nostalgique, des années qui passent.

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n°8 - 9/10 Sans nom

06 juin 2000

J'ai vu ce film plus de quinze fois, la première, j'avais 5 ans sur un vieux poste noir et blanc, la dernière en couleur et en DVD, et à chaque fois, je passe les 1h30 du film sans m'en rendre compte, pour moi, c'est tout simplement le chef d'oeuvre de la science-fiction classique au cinéma. Tout les ingrédients y sont, sans redondance, et sans extravagance, bref, une pure réussite, bien sur, les sons et effets spéciaux ont vieilli, mais l'atmosphère est tellement prenante. J'aimerai qu'il en soit fait une version moderne, mais je doute qu'elle parvienne à se hisser au niveau de l'original.   

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n°7 - 9/10 Sans nom

17 mai 2000

Tellement bon qu'il n'y a qu'a s'assoir et se regaler.Un excellent film, une reference, ou tous les elements sont de bonne facture : -sujet, -decords,  -effets speciaux, -dialogues. Tres avant-gardiste, si bien que vu de notre epoque, le film semble recent. Seul le graphisme nous precise les annees 50. A voir de preference en couleur et rapidement (ou revoir)

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