Planète rouge

(Red Planet)

 Les critiques

Nombre de critiques : 14

Total des points : 90

Moyenne obtenue : 6.43/10

n°4 - 7/10 noumayos

18 septembre 2001

Moi, je vous trouves tous un peu injuste ; ))
C'est tres divertissant quand meme, et je trouve les effets visuels sympa, bien sur qu'il y a des aberations dans le scenario, mais c le lot de tout les films de sf... je trouve les acteus asse credibles, et les effets visuels de belle facture, j'avais loue ce film en pensant que ce serait un navet, mais c'etait mon premier dvd et y'avait plus que ça à la videotheque... moi, je trouve que le truc du robot est tout à fait plausible, je suis convaincu que dans 50 ans, on en sera tout à fait la au niveau robotique...
En ce qui concerne le feu, je le trouve tout à fait credible aussi, compte tenu que pour imaginer un feu dans l'espace, c dur puisqu'il y a pas d'air, et que la forme qu'il prendrait serait un peu bizare...
Si vous en avez marre de voir des films de sf qui tournent à la derision, ça change, on empoi un vocabulaire sf, les persos sont crdibles, les costumes ne font pas plastique, et l'ambiance est elle aussi bien entretenue... evidemment, si vous etes puriste... mais les films de puristes sf sont rares, et je suis ouvert à toutes suggestions ; )))

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n°3 - 3/10 Sans nom

17 juin 2001

Toute l'histoire part d'une bonne idée mais il y plein de lacunes dans ce film... Les images de synthèses sont médiocres (le feu par exemple !), les acteurs peu crédibles (pour une 1er mission aussi loin aucun n'est stressé et même pas sur la planète Mars avec tous les problèmes qu'ils leur arrivent ! Ok, ils sont sur-entraînés). Le truc le plus nul du film c'est bien le robot ! Je veux bien croire que dans 50 ans les robots seront plus perfectionnés mais à ce point ! Il est plus malin qu'un humain et plus habile qu'un ninja ! Et en plus il devient subitement dingue ! Dans ce film, les scénaristes ne savaient vraiment pas comment faire crever ses persos... au bord d'une falaise en 2 minutes à cause d'une dispute débile... et le robot-ninja, fallait bien qu'il tue quelqu'un aussi ! Et à propos de l'oxygène, toutes les sondes terrestres et spaciales ne détectent plus une trace d'oxygène et plus aucune présence d'algue... et quand ils arrivent sur Mars ils respirent à volonté et découvrent dans champs d'algues... Franchement décevant !

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n°2 - 7/10 Sans nom

10 décembre 2000

bon film de sf, belles images informatique,un peu long par moment.

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n°1 - 6/10 Fabien Tournel

19 juillet 2000

L'homme n'a pas su s'arrêter à temps, la Terre ressemble à une décharge pratiquement irrespirable. Mais qu'à cela ne tienne, Mars peut servir de planète de secours. Pour ce faire, des algues photosynthétiques sont parachutées à sa surfacepour y générer une atmosphère oxygénée. La terraformation progresse correctement... jusqu'au jour où algues et oxygène disparaissent. Une mission scientifique est envoyée sur Mars pour se rendre compte sur place... Les premières images de l'espace ont un pouvoir de séduction immédiat. Et puis, comme d'habitude, l'enthousiasme et l'espoir suscité par un prélude alléchant s'effritent au contact de la râpe aux dents trop nombreuses d'un scénario dit "complet" : sentiments, bravoure, suspense, action, effets spéciaux, rebondissements, etc... Quels que soient l'épaisseur et le charme des personnages, quels que soient les bonnes idées et les multiples détails du scénario, on retombe systématiquement sur la "recette miracle" stéréotypée de Hollywood. Et le gros problème du Space Opera actuellement, c'est que seul Hollywood a les moyens d'en faire. Mais attention, à défaut d'avoir une âme véritable, Planète rouge ne manque pas de qualités. Les acteurs tout d'abord, grâce à Carrie-Ann Moss (Matrix, Memento), toute en féminité musclée et en charme glacée ; à la prestance d'un Val Kilmer (Willow, Batman forever, Heat) ou d'un Terence Stamp (Link, L'anglais) ; et à la remarquable finesse du jeu de Tom Sizemore (The relic, Ennemi d'état). Il y a ensuite quelques anecdotes sympathiques, comme l'extinction de l'incendie par l'ouverture du sas spatial et l'expulsion des flammes. Mais le réel atout du scénario est probablement complètement indépendant de la SF, dans son insistance sur les notions de sacrifice, de dévouement, et autres considérations éthiques, tel le trouble psychologique d'un cosmonaute ayant commis un crime à un moment où leur mort semblait acquise. La présence du robot navigateur/tueur, par contre, n'est pas une initiative heureuse. Non seulement l'idée de la machine qui pète les plombs est complètement défraîchie depuis longtemps, mais son visuel et son animation - bien qu'esthétiques - ne sont absolument pas crédibles. Le seul intérêt de ce robot semble être en effet de rehausser un peu le niveau des effets spéciaux, particulièrement moyens dans la séquence où Carrie-Ann Moss flotte en gravité zéro pendant une tempête de protons. En bref : Planète rouge est un divertissement agréable - moins beau et maîtrisé que Mission to Mars mais peut-être un peu plus original -, mais somme toute, rien de plus qu'un énième "film catastrophe" abusivement étiqueté "SF" sous prétexte qu'il se déroule sur Mars.

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