Battlestar Galactica
(Battlestar Galactica)
Les critiques
Nombre de critiques : 43
Total des points : 368
Moyenne obtenue : 8.56/10
n°13 - 10/10 Sans nom
28 décembre 2009
Que dire de cette série si ce n'est qu'elle est du début à la fin d'une qualité cinématographique et scénaristique extra-ordinaire pour une série de Science fiction. Rien n'est à jeter, les acteurs sont impeccables du début à la fin menés par un Edward James Olmos (William Adama) au sommet de sa forme. Contrairement à beaucoup de série rien n'est blanc ou noir et comme dans la vraie vie les personnages ne sont jamais sans faille. Bref même si cela ne convaincra pas les personnes hostiles à cette série, c'est pour moi la meilleure série de SF de tous les temps.
n°12 - 10/10 David-A G.
02 décembre 2009
Je pense sincèrement que c'est une des meilleurs série télé que j'ai vue. Tout d'abord parce qu'elle a un style unique (je trouve) qui est noire. Je dirais qu'elle convient mieux à un publique adulte à cause des drames qui se produisent tout en étant une très bonne série de science-fiction! Je dois dire qu'elle m'a très plus car elle n'est pas comme toute les autres série. Elle amène une vague de fraîcheur!
n°11 - 10/10 Sans nom
23 novembre 2009
Je pense objectivement que c'est une des meilleures série de science fiction de ces 15 dernières années, une simple série TV qui parle au spectateur, le fait partir dans un monde cohérent et abouti qui l'éloigne de son canapé pendant 4 saison et l'invite a bord de son antédiluvien Battlestar, libre à vous d'accepter le voyage.
n°10 - 10/10 cisko99
21 novembre 2009
Pour moi tout c'est simplement (excusez du peu) la meilleure série de SF et je pense les avoir toutes vues... Une série réaliste, noire mais plein d'espoir ou les limites entre les bon et les méchants ne sont pas aussi figées que l'on pourrait le croire au début. Une bande originale super, des combats aériens réalistes... A voir de toute urgence à mon avis... et de préférence en VO
n°9 - 10/10 Sans nom
29 avril 2009
Souvent déçu des déroulements trop "attendus" dans les séries actuelles, BSG rassemble aussi bien le monde politique, scientifique, social, et religieux que futuriste dans un monde d'avenir. Chaque épisodes nous rend "accros"! Il y a toujours bien un personnage auquel on peut s'identifier, une situation vécue qui nos rend plus proche des personnages. En y ajoutant cette dose de science fiction, BSG devrait être nominé à tous les titres. (Après SW, BSG reste pour moi la plus belle production jamais réalisée. MON AVIS)
n°8 - 10/10 Centeternelle
08 avril 2009
Sans doute la meilleure série du genre ! Les personnages sont fouillés comme rarement, la situation s'avère bien plus complexe qu'en apparence : la frontière entre le bien et le mal s'estompe au fil des épisodes. L'humanité mérite-elle de survivre ? Pour couronner le tout, la musique est sublime et la dernière saison s'achève sur une véritable fin ! A ne pas manquer !
n°7 - 2/10 Sans nom
13 février 2009
BATTLESTAR GALACTICA ou le déclin de l'empire américain (ou encore Ouin-Ouin s'en va-t-en guerre) Faute de mieux, faudrait-il se contenter du pire ? Le manque d'inspiration de cette série, les plans nous remettant à longueur de saisons (mais oui avant de critiquer, j'ai visionné - y a t-il d'autres mots - les 3 premières saisons) jalonnées de plans "caméras d'épaule" (d'aucuns citent Lars von Triers, excusez du peu...), de zooms façon "attendez avant de sauter dans l'hyperespace, le temps que je fasse la mise au point", l'ensemble virant à l'obsession. La musique (B.O.F.) a largement piqué dans l'escarcelle de Philip Glass, flirté de temps en temps avec Michael Nyman (dommage que les images de Galactica, elles, ne s'inspirent pas de P. Greenaway), voire Wim Mertens. Quant à la quête, qu'elle soit du Graal ou de la flèche d'Athena, sans méchanceté pour ceux qui aiment, cela sent le scénario de 4 sous ; bien sûr sans rapport avec l'(space?) opéra du même nom. Bon courage pour la 4ème saison. Quant à moi, je jette l'éponge.
n°6 - 9/10 Sans nom
03 janvier 2009
Une pure Merveille!!! L'une des séries les plus abouties après Babylon 5 mélangeant habilement action, politique, religion... Le reflet de la vie terrestre à l'échelle d'une galaxie.
n°5 - 10/10 Dédé Martin
24 mai 2008
Sans aucun doute la meilleure série SF de cette décennie. Les personnages sont très travaillés, les intrigues palpitantes et la musique est excellente. Le style caméra à l'épaule apporte beaucoup de vie notamment lors des scènes de combat. Les décors "vieillots" changent du clinquant de ceux d'autres séries (le Battlestar Galactica est censé être un vaisseau désuet, proche de la retraite). Personnellement j'ai beaucoup apprécié le début de la troisième saison ainsi que les webisodes correspondant à cette période de l'histoire, où les thèmes abordés rappellent étrangement la seconde guerre mondiale. Cette série ne comptera que quatre saisons et aura une vraie fin, un bon point à son actif ; certaines séries s'éternisant un peu trop à mon goût (cf STARGATE SG-1). Je suis cette série en VO et j'ai hâte de savoir le fin mot de l'histoire. En bref, vous aimez les Space-Opéras, vous aimez les histoires de prophétie, vous allez adorer BATTLESTAR GALACTICA.
n°4 - 5/10 Pif le chien
01 mars 2008
Traversée du Baikal en pataugas.
Azimov : L'univers s'est peu à peu peuplé des enfants de la Terre. Nous l'avons perdu. Partons à sa recherche.
Voilà à quoi pourrait ressembler le Galactica revisité. Pas forcément inique sur le discours, un scénario solidement bâti, mais pour "accoucher" de . Eh bien, on peut se demander de quoi, à vrai dire. Les références au divin (aux dieux de je ne sais où) sont le propos récursif de cette tragédie, reflet d'une vérité cache misère nous offrant une série emprunte des schémas et poncifs qui jalonnent le formatage des esprits de l'humanité depuis la nuit des temps. Celle-ci serait-elle naufragée et dans la dynamique anthropique de sa propre disparition ? Au vu des thèses développées par la série - Exécution des "traîtres", à commencer par Gaius Baltar - autant que cette engeance, vouée à son autodestruction (Koyaanisqatsi et suites) disparaisse et que l'être humain fiche une bonne fois pour toute la paix à l'univers. C'est vrai quoi...
Silverberg : L'univers multiforme nous offre un espace de rencontre; celui de l'Autre.
Les cylons et les humains qui les ont créés: en voilà un univers onirique! Reproduire la destruction, que dis-je, le génocide - d'ailleurs habilement évoqué dans quelques épisodes de la série - ramenant la population de plusieurs millions d'individus (dixit la Présidente des colonies, pour ma part, je pencherais plutôt pour quelques milliards d'individus, mais c'est vrai, ça fait quand même beaucoup d'humains à faire disparaître) et les voilà nez à nez, avec leurs enfants. Ah non, en fait les rejetons de l'humanité sont des machines - les robots d'Asimov ? - et, pardonnez cette expression triviale : il n'ont de cesse que de nous exploser la race, réflexe freudien de notre progéniture semblerait-il.
Au total, souffrez, vous avec lesquels j'ai grand plaisir de partager la passion de la SF, qu'aux dépends de la vision nombriliste d'Asimov, fusse-t-elle celle des fondations, j'offre crédit à l'esprit universaliste de Siverberg, et au regard de la quête "mystique" et prosélyte de la série, à tout le moins le récit initiatique de son inénarrable "Dybbuk de Mazel Tov".